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Écoutez/Achetez Memento Mori de Depeche Mode dès à présent : https://lnkfi.re/DM2023

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Puppet

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Quelqu'un possède-t-il ce magazine spécial DM ?!

http://www.amazon.co.uk/Depeche-Mode-Ultimate-Music-Guide/dp/B00EVS00F2

Il n'y a que la couv' et le sommaire de ce magazine dans la section magazine, il s'agit d'un hors série de 148 pages quand même, dans la langue de Shakespeare.

Par contre, si, tu tiens à le lire, voici un lien : http://www.dmtvarchives.com/forum/index.php?topic=422.1110

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Trouvé un vieil article... mais intéressant. Il ouvre le débat, en tout cas, et ne sort pas la brosse à reluire ! :wacko:

http://www.technikart.com/archives/4991-dave-gahan-contre-martin-gore

Article écrit en 2009 sur 2 albums solos sortis en 2003.... quel intérêt ??

De plus, on parle d'Alan comme si il était encore là, et on parle du groupe Client (joli le "The" devant qui sert à rien d'ailleurs) comme si c'était DM qui les avait produit....

Bref, un journaliste à 2 balles.

Quelqu'un possède-t-il ce magazine spécial DM ?!

http://www.amazon.co.uk/Depeche-Mode-Ultimate-Music-Guide/dp/B00EVS00F2

http://www.depeche-mode.be/magazines.html/_/2010-aujourd-hui/uncut-r767

Mais pas complet....

Il n'y a que la couv' et le sommaire de ce magazine dans la section magazine, il s'agit d'un hors série de 148 pages quand même, dans la langue de Shakespeare.

Par contre, si, tu tiens à le lire, voici un lien : http://www.dmtvarchives.com/forum/index.php?topic=422.1110

Rhoooo, plutôt que de le mettre à jour chez nous...... :p

Voici quelques pages du magazine en complement:

Merci @KFDM. Au boulot @JEZEBEL !!! :lol:

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  • 3 semaines après...

interview de fletch en prévision du concert d'ouverture de la tournée d'hiver aux Emirats arabes unis par un journal local

http://gulfnews.com/arts-entertainment/celebrity/depeche-mode-life-is-a-dream-come-true-1.1247708

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982. Après plusieurs semaines en studio, des sessions chapeautées en majeure partie par Daniel Miller, le patron de Mute Records, Depeche Mode sort ce qui allait être son deuxième opus, aujourd’hui méprisé par le groupe et par la plupart des fans bien-pensants. Bien plus triste que son prédecesseur Speak & Spell, le disque au tube Just can’t get enough, A broken frame n’en reste pas moins un album charnière : Vince Clarke a quitté le groupe pour des problèmes de tensions internes qui marqueront Depeche Mode jusqu’à aujourd’hui, et pendant la tournée subséquente, le trio de Basildon recrutera Alan Wilder.

A broken frame est un album atypique, nostalgique et à fleur de peau, dans la mesure où la plupart des chansons avaient été écrites par un Martin Gore adolescent, un Martin Gore qui était obligé de s’improviser songwriter du groupe, puisqu’ils avaient perdu leur source d’écriture principale en la personne de Vince Clarke, le concepteur de New life, Just can’t get enough ou encorePuppets. Sur le premier opus, seules deux chansons avaient été écrites par Gore : l’instrumental Big muff et le toujours aussi mystérieux Tora ! Tora ! Tora !. Ici, les textes sont sombres et écorchés, comme une sorte de collection mélancolique et extrêmement poignante des sentiments les plus antagonistes et les plus douloureux de l’adolescence ; et c’est un Dave Gahan en proie au doute qui pose une voix mal assurée sur les ritournelles amères de cet opus.

Même si la production semble datée, elle contribue à l’atmosphère sombre et claustrophobe de ce disque unique dans l’histoire du groupe. Des titres mythiques en émergent, comme le superbeLeave in silence, qui ouvre le tout dans une atmosphère plutôt ténébreuse ("We have reached a full stop, nothing’s gonna save us from the big drop"), ou encore le splendide et touchant The sun & the rainfall, probablement un des plus beaux morceaux de Depeche Mode, toutes périodes confondues. L’anthémique morceau instrumental Nothing to fear se dresse en hymne synthétique, véritable phare lumineux dans un album où seuls quelques morceaux d’une naïveté presque attristante (A photograph of you, The meaning of love) contrebalancent des titres moroses et dénués d’espoir (Monument, Satellite). De cette fantastique bipolarité naîtra également le single See you qui, malgré des textes d’une incroyable innocence, semble souillé par les synthétiseurs mouillés mis en place par Daniel Miller.

A broken frame dépeint un monde à part dans l’univers musical du combo britannique, un monde que l’on ne reverra plus jamais dans aucun album, que cela soit dans les litanies industrielles deConstruction time again ou le romantisme gothique de Black celebration. Ici, tout paraît à la fois simple et menaçant, comme si une épée de Damoclès imperturbable planait au-dessus de moments à peine sortis de l’enfance. Ce deuxième effort de Depeche Mode est un album simple, presque trop pour certains, alors qu’il ne fait que plonger avec énormément de pudeur dans un cœur adolescent et désabusé, comme en témoigne Shouldn’t have done that, la comptine glauque et pessimiste sur laquelle Martin Gore pose une voix encore hésitante qui se fond à merveille dans les paysages sonores de la musique.

Délicates et fragiles, toutes les chansons de ce disque semblent constituer une parenthèse hésitante dans l’histoire d’un groupe qui, déjà à l’époque, se posait moult questions sur le bien-fondé de son existence (en témoignent les photos plutôt tristounettes de ses trois membres dans le livret) : une sorte de Petit prince de la musique, comme oublié sur une planète solitaire, désireux de se créer un monde onirique pour échapper à un univers trop dur. Ceux qui allaient plus tard composer le vibrant Enjoy the silenceoffraient ici un testament qui n’aurait pas dénoté sur un album de post-punk errant à la recherche d’une raison de vivre : "Things must change, we must re-arrange them, or we’ll have to estrange them". Tout est dit.


rien.gif

C’est pour tuer l’ennui de leur petite vie provinciale, à Basildon, dans l’Essex, que les jeunes Martin Lee Gore, Andrew Fletcher et Vince Clarke (de son vrai nom Vincent John Martin) forment Composition of Sound, en 1980. Modestes employés de bureau la semaine, ils se retrouvent le dimanche après-midi dans un garage pour faire joujou sur des synthétiseurs (« parce que c’est moins encombrant que des guitares et une batterie ») sans ambitions particulières, sinon celle de peut-être un jour pouvoir sortir un single. Ils sont rapidement rejoints par Dave Gahan, qui propose de renommer le groupe Depeche Mode, en référence au titre d’un magazine féminin français...

Dans les premiers mois d’existence de Composition of Sound, Vince Clarke, le principal parolier et compositeur du groupe, officie également en tant que chanteur. Il en était déjà ainsi lorsqu’il jouait avec Andrew Fletcher dans des petits groupes tels que No Romance in China et French Look, dont la notoriété n’a jamais dépassé Basildon. D’un naturel timide, il n’est pas très à l’aise au chant et décide de se mettre en quête d’un chanteur moins introverti. Dave Gahan, dix-huit ans, est recruté après que Vince Clarke l’ait entendu reprendre avec brio Heroes de David Bowie. Comme il le reconnaîtra plus tard, Clarke n’engage pas tant Gahan en raison de ses qualités de chanteur que de sa popularité auprès de la jeunesse locale. Ce jeune dandy, ex-punk à la réputation sulfureuse, est fasciné par le glamour depuis qu’il a découvert Roxy Music. Il collectionne déjà les conquêtes féminines et se déplace toujours entouré d’une petite cour de jeunes branchés. Clarke voit donc en lui un moyen d’enfin attirer un certain public aux concerts du groupe, ce qui ne manquera pas de se vérifier dans les faits.

Depeche Mode passe l’année 1980 à travailler sur une série de démos et à donner des concerts de mieux en mieux suivis. Vince Clarke, Martin Gore et Andrew Fletcher sont aux synthés, tandis que Dave Gahan, en pantalon en cuir, veston et coupe new wave, fait son show à l’avant de la scène ; un peu comme si Kraftwerkétait doté d’un vrai leader charismatique. Stevo Pearce, le très excentrique manager de Soft Cell, les remarque et leur propose de participer à la compilation de lancement de son label, Some Bizzare. Depeche Mode accepte et fait don de son titrePhotographic, qui figurera sur le Some Bizzare Album aux côtés de Soft Cell, mais aussi Blancmange et The The, pour ne citer que ceux qui ont connu une certaine popularité par la suite. Cette première sortie incite Daniel Miller, fondateur du label indépendant Mute Records, à proposer un contrat à Depeche Mode. De contrat, il ne sera toutefois pas vraiment question puisque leur association sera, pendant de nombreuses années, uniquement basée sur des accords verbaux entérinés par une simple poignée de mains. Daniel Miller (connu dans le milieu comme The Normal, dont l’unique single, Warm leatherette, sorti en 1978, est toujours culte de nos jours) délaisse quelques semaines son principal poulain, Fad Gadget, pour prendre en charge la production de Speak & Spell.

L’album sort en novembre 1981, précédé par trois single :Dreaming of me, en février, qui passera complètement inaperçu ;New life, en juin, qui manquera de peu le top 10 britannique, et enfin le sautillant Just can’t get enough, en septembre, qui sera un hit en Europe et en Australie, en plus de se frayer un chemin dans les charts alternatifs américains. Au-delà de ce succès commercial, Just can’t get enough restera l’un des singles les plus connus de Depeche Mode ; souvent même le seul connu du grand public généraliste, tant on continue de le matraquer dans les mariages et les soirées « années 80 », entre Orchestral Manœuvres in The Dark et Partenaire Particulier. Ce single est pourtant loin d’être représentatif de la carrière du groupe et même de cet album, tant sa tonalité popisante tranche avec des titres plus sombres comme Photographic - livré dans une version différente de celle de la compile de Some Bizzare -, Tora ! Tora ! Tora ! et l’instrumental Big muff. Ces deux derniers titres en particulier, les seuls de Speak & Spell à avoir été écrits et composés par Martin Gore, annoncent le Depeche Mode plus grave et profond qui éclora quelques années plus tard. Ils révèlent aussi le formidable talent d’auteur de Gore, à qui le groupe devra son salut lorsque Vince Clarke prendra la poudre d’escampette, fin 1981, pour aller fonder Yazoo. Gore fait en outre entendre pour la première fois sa douce voix sur la ballade minimaliste Any second now (Voices) (qui n’était au départ qu’un instrumental en face B de Just can’t get enough), inaugurant l’alternance vocale avec Dave Gahan qui sera la norme tout au long de leur carrière.

Inégal, combinant le meilleur (Tora ! Tora ! Tora !, Photographic) comme le pire (What’s my name ?, aux paroles d’une naïveté confondante ; I sometimes wish I was dead, doté d’une des plus laides mélodies jamais sorties d’un clavier ; Puppets, d’une banalité affligeante, ou encore Nodisco, qui manque cruellement d’inspiration) avec un single synth-pop léger mais suffisamment bien calibré que pour être capable de rivaliser avec ceux d’O.M.D.,Gary Numan, Visage et même Human League, Depeche Mode posait avec Speak & Spell les bases de son œuvre. Ce départ discret devrait être suivi en 1982 par A broken frame, un deuxième album encore plus inégal, en trio, puis d’une vraie évolution artistique coïncidant avec l’arrivée dans le groupe d’Alan Wilder.

Speak & Spell, aujourd’hui, est surtout intéressant à titre de document retraçant les débuts hésitants mais prometteurs d’un groupe essentiel des scènes pop/rock et électronique du dernier quart de siècle. Dans cet esprit - et dans cet esprit seulement -, pour les fans comme pour les curieux, la réédition de l’album en 2006, remasterisé, doté de quelques titres bonus et d’un long documentaire sur DVD intitulé Do we really have to give up our day jobs ? est incontestablement un maître achat.

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  • 1 mois après...

Le premier magazine que j'ai posté, je suis pas si bête que ça tiens!

Classic Pop de Mai/Juin 2013 ;)

http://www.depeche-mode.be/magazines.html/_/2010-aujourd-hui/classic-pop-r852

Modifié par Pipeline
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  • 4 semaines après...

Le top 10 des meilleurs albums 2013 élus par les lecteurs russes de RollingStone.

Le trio gagnant : 1/ DM et Delta Machine 2/ Korn et The Paradigm Shift et 3/ Placebo et Loud like love

http://rollingstone.ru/articles/music/article/18674.html

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C'est vrai que dans ce classement, c'était un peu " chercher les 2 erreurs " mais bon, elles touchent un large public , qui aime leur musique.

Après il faut voir si c'est un classement fait par les journalistes ou les lecteurs mais au fond ça ne change pas grand chose pour moi: Rolling Stone c'est la bible des magazines et c'est censé être un magazine rock, enfin ça c'était avant...maintenant ils sont obligés de parler de ces chanteuses pour vendre leur magazine, un peu triste !! :dry:

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