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Écoutez/Achetez Memento Mori de Depeche Mode dès à présent : https://lnkfi.re/DM2023

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Puppet

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Bien joué , je l'avais pas trouvée !

Salut, désolée mais ce n'est pas la bonne couverture (elle date du 24 janvier 1981), voici la bonne couverture de l'interview du 31 janvier 1981 (on peut même voir qu'il y a dm en titre)

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  • 1 mois après...

je suis tout à fait d'accord avec toi....je suis un "passionné " de rock mais je ne supporte plus les "inrocks" ....ces BOBOS oublient que de nombreux lecteurs de leur "torchon"pseudo intello se sont mis au rock grâce à DM et d'autres comme Cure, new order....je sais,ils "chiaient" sur DM dans les années 90....si vous voulez de "saines" lectures je vous conseille des magazines comme ELEGY, MAGIC...et même ce bon vieux ROCKandFOLK..car ils respectent le Rock eux!!!!!!

:plussoie: les Inrocks, à part les Stones pour eux tout est de la merde, si on reprend les vieux articles de l'époque selon eux après "I just can't get enough" le groupe n'avait aucune chance d'avoir une carrière et pourtant 30 ans après, ils sont toujours là !

Dans les années 90 les journalistes des Inrock disaient de DM qu'ils étaient finis et qu'il ne donnait pas cher de la vie de Dave Gahan jusqu'à preuve du contraire il est bien vivant...

C'est eux qui traitaient Indo de ringard avant l'album Paradize et que ce groupe n'aurait plus jamais de succès...

Les même qui crachaient sur Michael Jackson et l'album "Thriller" qui est devenu l'album le plus vendu de tout les temps, le traitait de pédophile sans faire d'enquête sérieuse et n'ont pas hésité à le mettre en couv' le jour de sa mort et de reconnaitre qu'après Elvis il était une légende.

La reconnaissance du public vaut mieux qu'une critique musicale des Inrocks...

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je suis tout à fait d'accord avec toi....je suis un "passionné " de rock mais je ne supporte plus les "inrocks" ....ces BOBOS oublient que de nombreux lecteurs de leur "torchon"pseudo intello se sont mis au rock grâce à DM et d'autres comme Cure, new order....je sais,ils "chiaient" sur DM dans les années 90....si vous voulez de "saines" lectures je vous conseille des magazines comme ELEGY, MAGIC...et même ce bon vieux ROCKandFOLK..car ils respectent le Rock eux!!!!!!

Malheureusement Elegy comme D-Side n'excite plus :Snif: , Magic a laissé tomber DEPECHE MODE depuis 2003, Rock and folk (d'aujourd'hui) s'intéresse moins qu'avant, il semblerait qu'en france les journalistes sont restés sur la mauvaise image de DM qu'ils ont donné dans les années 80, alors que dans les pays comme l'allemagne , l'U-K . . on trouve toujours de très bon et beau magazine sur DM.

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Malheureusement Elegy comme D-Side n'excite plus :Snif: , Magic a laissé tomber DEPECHE MODE depuis 2003, Rock and folk (d'aujourd'hui) s'intéresse moins qu'avant, il semblerait qu'en france les journalistes sont restés sur la mauvaise image de DM qu'ils ont donné dans les années 80, alors que dans les pays comme l'allemagne , l'U-K . . on trouve toujours de très bon et beau magazine sur DM.

il y à encore le magazine " Noise" (qui est la suite de D-Side, je crois)

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Le magazine BEST parlait beaucoup de DM mais il n'existe plus malheureusement...sinon il faut consulter des magazines spécialisés dans les musiques électroniques.

A mon avis, c'est vraiment l'Allemagne qui parle le plus de DM, je ne suis pas convaincue que dans les magazines anglais, ils aient eu énormément d'articles non plus ces temps-ci.

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La suite de D-side c'est Obskure magazine. Le dernier N° de D-side fut le N°60 de Septembre/octobre 2010, ensuite Obskure magazine a pris la relève dont le N°1 est sortie en novembre/décembre 2010.

D'après ma base j'ai identifié sans compter la press (metro, aujourd'hui en france, 20 minutes ...) entre 2010 et aujourd'hui:

32 magazines en France

12 magazines en UK

34 magazines en ALL

12 magazines en ESP

01 magazine en Belgique (désolé)

03 magazines en suisse

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  • 3 semaines après...
  • 2 semaines après...

Jezebel, tu cours trop vite pour moi :scooter: ,tu m'as encore devancé sur une quinzaine de couvertures de magazines :surrender:

:biggrin::biggrin:

J'te fais confiance, tu vas me rattraper :laugh: Encore, un p'tit effort, et on va arriver à 1000

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J'te fais confiance, tu vas me rattraper :laugh: Encore, un p'tit effort, et on va arriver à 1000

Pas de problème, les 1000 seront largement dépassés, peut-être même dès ce soir... j'ai encore de la réserve. je reprends mon souffle et je repars :cours: (après manger par contre...)

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  • 2 semaines après...

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Dave Gahan : le caprice d'un Dieu

SURLERING.COM - CULTURISME - par Erik Lange - le 24/08/2003 - 0 réactions - facebook.png twitter.jpeg wikio.png print.jpg

Ensevelis sous une obscurité hivernale et effrayante, seul le " click clock " d'une pendule et le battement de nos coeurs nous prouvent notre existence. Guidés par le son du temps qui s'écoule et s'évapore, nous apercevons, enfin et au loin, une faible lueur blanche naissante de l'ampoule au corps de verre. Sous cette source d'énergie, Dave Gahan (40 ans), chanteur du groupe Depeche Mode, assis, la tête baissée, sur une chaise en bois dont tout le poids repose dangereusement sur quatre pattes fragiles et craquantes, répète obsessionnellement : " Encore combien à attendre ? ", " Encore combien à attendre ? ", " Encore combien à attendre ? "...

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De l'autre coté de la pièce, Martin Gore, parolier, compositeur mais pourtant leader invisible du quatuor anglo-saxon et illuminé romantiquement par l'halo d'une bougie, pianote un sol, puis un do sur son synthétiseur. Interrompu par les plaintes continues de l'interprète, ses yeux s'emplissent de sang et sa bouche, jusque là sèche, s'ouvre pour clamer bien haut : " Patience ! Retourne devant ton miroir et améliore ta danse. C'est tout ce que tu as à faire ".

Justement ! D'où le problème et la crise existentialiste de ce vocaliste à la voix sexy, rebelle et douce à la fois. Le complexe de marionnette aux fils d'or gonfle à la vitesse d'une comète, perdue dans la gravité, à la recherche de sa galaxie. Fatigué d'obéir aux ordres arrogants, égoïstes et permanents de ce despote, ce pantin, au regard profond et au sourire malicieux, s'arrache de ce filet aux coutures dégradées d'où il pleure, prisonnier, depuis plus de vingt ans.

Le voilà libre, devenu funambule, tachant de trouver l'équilibre, au risque acide de vivre une longue chute jusque terminer son saut dans une mare de boue, salissant ainsi son image jusque maintenant appréciée, voir même admirée.

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Toujours envie de trop.

Grand nombre de figures musicales tentent de s'évader, abandonner et oublier toute une longue et passionnante histoire sur la planète rock, afin de démontrer que les étoiles ne sont autres qu'eux même et que l'aide d'un astre leur semble inutile pour briller. Le premier travail en solitaire, donc, du vocaliste de Depeche Mode, intitulé " Paper Monster " commence positivement, sous un rythme prenant, magnifiquement appuyé sur son chant serein et élégant. Mais une première impression peut en " cracher " une autre. L'écoute, bien que se faisant longue et ennuyeuse, continue tout de même avec le mince espoir de découvrir une mélodie digne de ce que nous étions habitués d'entendre à chacune de ses apparitions ; physiques ou technologiques.

Dave Gahan creuse profond, la pelle en main, à la recherche d'un nouveau son ; un nouveau style sans y trouver, malheureusement pour lui, la moindre trace ; le moindre signe. Il paraît donc clair que dans son cas, une carrière en solitaire aboutirait sur le même résultat que l'overdose qu'il souffrit quelques années auparavant, c'est-à-dire une dégradation artistique depuis un point de départ difficilement améliorable. Martin Gore orphelin, n'aurait, apparemment, aucune difficulté à continuer sa marche en compagnie exclusive de sa guitare, tenant compte des immenses titres, né de son génie et dont lui seul détient le secret de composition. Par contre, son collègue professionnel ne pourrait en dire autant après ce premier album vraiment trop discret et linéaire, incapable d'inquiéter son tyran dans la course aux étoiles.

Joy Division décédé, New Order trop discret et The Cure à la retraite, les deux importants piliers de Depeche Mode ne peuvent se donner le luxe ridicule de rentrer dans une lutte concurrentielle au futur triste ; voir tragique. Les amoureux des 80's aux cheveux explosés et aux cuirs délavés ne méritent pas cet abandon et cette perte sans fondement.

Erik M.

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  • 1 mois après...

Lorsque les lumières s’éteignent il est déjà 21h30, l’ambiance est assez chaude, plus de 12000 personnes sont là et l’attente a été longue même si The Bravery a assuré une très honnête première partie.

Sur une intro instrumentale, des silhouettes se dessinent et brusquement le volume sonore nous fait tressaillir, telle une sirène d’alarme, alliée à des lumières qui flashent sur le bord de la scène, c’est le début de A Pain That I’m Used To qui raisonne.

Le côté gauche du décor abrite une étrange boule géante sur laquelle seront diffusé durant tout le show d’étanges messages (Pain, Sex, etc… ). Des projections, sur une multitude d’écran à l’arrière plan, viennent compléter le tableau . Un décor à l’esthétique réussie due à Anton Corbin, , donnant une atmosphère intemporelle digne d’un film de science-fiction.

Martin Gore est étrangement vêtu, un bonnet à plume sur la tête, des ailes dans le dos ! Mais oui, il porte un costume à l’image du personnage du dernier opus Playing The Angel.

L’entrée en matière est saluée comme il se doit par les spectateurs, que le groupe laisse à peine respirer, enchainant avec une autre nouveauté John The Revelator.

Dave Gahan, au chant, occupe à lui seul les trois quart de l’espace par son jeu de scène, une présence toujours impressionnante !

Il salue d’un « Good Evening Amnéville », puis les premières notes de A Question Of Time vont animer la fosse et faire se lever l’ensemble des gradins pendant qu’il tombe la veste…. Une ambiance qui ne retombe pas pendant Policy Of Truth, laissant place au premier single du dernier album Precious qui trouve une nouvelle dimension en live.

La salle donne l’image d’une marée humaine déchainée pendant Walking In My Shoes, Martin Gore occupant lui aussi de plus en plus la scène, venant de ci, de là jouer ses parties de guitare en avant.

La complicité entre les deux hommes est visible, en particulier sur Suffer Well, premier single du groupe signé Gahan et non Gore … ainsi que pour Macro où Martin Gore devient le chanteur avec un Gahan en simple choriste, avant de s’effacer pour laisser le compositeur nous assener une fantastique version de Home, seul titre réchappé de Ultra l’album de 1997.

Le chanteur revient ensuite pour deux titres plus lents, c’est le calme avant la tempête …

En effet la température de la salle monte encore aux premiers accords de I Feel You, puis des classiques que le groupe enchaîne, Personal Jesus déclenche une nuée de bras levés.

Le dernier morceau de cet enchainement Enjoy The Silence voit un Dave Gahan, qui nous a depuis longtemps dévoilé son torse tatoué, tendre le micro vers le public qui entonne distinctement le refrain, pendant que la crinière blonde de Martin Gore, qui a lui depuis longtemps jeté son bonnet dans la foule, s’avance pour un solo unique en son genre … un pur moment de bonheur … qui se clôt par le premier départ du groupe.

Le décor ainsi vidé semble tout droit sorti de Star Trek …

C’est Martin Gore qui revient, seulement accompagné de Peter Gordeno, nous offrant une version de Shake The Disease dépouillée mais à donner des frissons.

Ils seront vite rejoint par les trois autres et nous livrent alors Just Can’t Get Enough, le hit mémorable des débuts du groupe il y a vingt-cinq ans, puis un autre ancien morceau que le public chante lorsque Gahan tends son micro, le fantastique Everything Counts. Ils saluent une nouvelle fois.

Déjà quelque personnes s’apprêtent à quitter la salle, mais ils vont revenir quand les cinq hommes reviennent pour Never Let Me Down Again, dans une version d’anthologie, un moment de folie … puis le calme reviendra pour Goodnight Lover qui voit Martin Gore et Dave Gahan en parfaite symbiose, épaule contre épaule … puis ils nous saluent cette fois pour de bon, Gahan ponctuant le set par un « See You Next Tour » !

Un grand groupe nous a offert ce soir un grand spectacle !

SET LIST :

Intro

A Pain That I’m Used To

John, The Revelator

A Question Of Time

Policy Of Truth

Precious

Suffer Well

Macro

Home

I Want It All

The Sinner In Me

I Feel You

Behind The Wheel

World In My Eyes

I Feel You

Behind The Wheel

World In My Eyes

Personal Jesus

Shake The Disease

Just Can’t Get Enough

Everything Counts

Never Let Me Down Again

Goodnight Lovers

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  • 3 semaines après...
  • 1 mois après...

N'oubliez pas qu'une grosse partie des magazines se retrouvent sur cette page : http://www.depeche-mode.be/magazines.html

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